Lebanon Connection - Christophe Sarrazin et Stan Hotbridges

Titre : Lebanon Connection

Auteur : Christophe Sarrazin

Illustrateur : Stan Hotbridges 

Éditeur : Nats éditions

Genre : Thriller

Date de parution : 8 mars 2019

Nombre de pages : 136

Prix : 11€ (Papier) - 2.99€ (eBook)

Henry Plaisant, consul adjoint de France à Beyrouth, disparaît dans de mystérieuses conditions. 
Son fils, Benjamin, ne croit pas à la version officielle du gouvernement. Il est persuadé que son père a été empoisonné sur ordre de l’Avocat Noir, un trafiquant et terroriste qui a la mainmise sur une grande partie du Liban. 

Assoiffé de vérité et de vengeance, et bien qu’inexpérimenté, Benjamin se lance sur sa piste à travers le Liban et devra faire face à de nombreux défis, dont les fameux Gardiens du Cèdre et d’énigmatiques bienfaiteurs...

Je remercie tout d'abord Nats éditions pour ce service presse et pour leur confiance. 

Alors que ce roman avait vraiment tout pour me plaire : la découverte d'un pays (Le liban) et une quête à travers ce pays pour chercher la vérité, je ressors de ma lecture assez déçu.
Dès les premières pages, nous découvrons Benjamin Plaisant dont le père consul adjoint de France à Beyrouth a mystérieusement disparu. Benjamin est persuadé que son père a été empoisonné sur ordre de l’Avocat Noir, un trafiquant et terroriste qui a la mainmise sur une grande partie du Liban. 
En quête de vérité et de vengeance, Benjamin se lance sur sa piste à travers le Liban où il devra faire face à de nombreux dangers ...

L'action est très présente dans ce roman et s'enchaîne très rapidement. Benjamin se retrouve à plusieurs reprises en danger et on ne peut que trembler pour lui. 
Mais malgré que l'histoire soit sympa, la narration à la troisième personne du singulier m'a beaucoup gêné et empêché de rentrer dans l'histoire. 
De plus, je ne me suis attaché à aucun personnages. Ils ne sont pas très travaillés et pas du tout fouillé psychologiquement. Du coup, j'ai trouvé les personnages sassez fade sans aucune personnalité propre. 

Ce roman comporte également quelque petites illustrations. J'avais découvert Stan Hotbridges  avec la bande dessinée Riton que je n'avais pas du tout aimé à cause de l'humour trop noir pour moi. Du coup, dans ce roman j'ai pu mieux apprécier son coup de crayon et j'ai un peu regretté qu'il n'y en ai pas plus.

En bref, une histoire à laquelle je n'ai pas du tout accroché. 

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