6 févr. 2022

In my mailbox (du 31 janvier au 6 février 2022)


Bonjour tous le monde ! 
Je vous retrouve pour un nouvel "In my mailbox". Cet article me permet de vous présenter mes dernières réceptions ainsi que mes derniers achats livresques.

Le violon d'or d'Albert Ducloz (Editions de Borée)
Mon avis : ICI


Après avoir perdu sa femme dans un accident, laissant une trace indélébile au sein de la famille, Philippe élève ses quatre enfants avec l'aide de sa mère Mathilde. Pourtant, quand il rencontre Juliette, la jeune institutrice du village, au sujet des talents de sa fille Nathalie pour le violon, le charme opère. Ils décident alors de se marier. Quelle sera la réaction des enfants de Philippe face à cette nouvelle ? L'idylle va bientôt être rattrapée par des secrets familiaux inattendus...



Pachinko de Min Jin Lee (Editions Harper Collins)

Début des années 1930. Dans un petit village coréen, la jeune Sunja se laisse séduire par un riche négociant étranger. Lorsque cette dernière tombe enceinte et découvre que son amant est déjà marié au Japon, elle refuse le marché qu’il lui propose : devenir sa seconde épouse, « l’épouse coréenne ».
Pour éviter la ruine et préserver sa famille du déshonneur, Sunja choisira une troisième voie : le mariage avec Isak, un pasteur chrétien qu’elle connaît à peine et qui lui offre une nouvelle existence au pays du Soleil-Levant. Cette décision est alors le point de départ d’un douloureux exil, qui sur huit décennies et quatre générations.
Avec une justesse historique remarquable et une écriture précise et dépouillée, Min Jin Lee nous offre un hymne intime et poignant à tous les sacrifices que font les immigrés pour trouver leur place en pays étranger.

Le portrait disparu de Guillemette De La Borie (Editions Calmann-Levy)

Quête de la mémoire entre Paris et Montauban.

En mars 1938, l’arrivée dans son immeuble des beaux quartiers parisiens d’une famille originaire de Hongrie vient faire souffler sur l’existence bien rangée d’Apolline Chamassy, douze ans, un vent de fantaisie et de gaieté. Elle est subjuguée par Dorothée, l’aînée des enfants, qui a le même âge qu’elle.

Marchand d’art, le père de Dorothée a pris sous son aile un jeune peintre, Anton Drovic, exilé lui aussi, auquel l’harmonie entre les deux fillettes inspire un tableau, Les Deux jeunes filles.

La toile est destinée au père d’Apolline mais la guerre éclate, dispersant les uns et les autres, et M. Chamassy, qui met les deux adolescentes à l’abri – pense-t-il – dans sa famille à Montauban, n’a pas le temps d’en prendre possession.

Bien des années après, Alyssia, la petite-fille d’Apolline, repère le tableau à l’occasion d’une vente aux enchères comprenant des œuvres sauvées du pillage pendant l’Occupation. Toute son histoire familiale resurgit alors, lourde et tourmentée, qui la ramène à un indicible secret…

Et vous ? Qu'avez vous reçu ou acheté ?

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